Cette thèse de doctorat analyse à quelles conditions il faut attribuer la connaissance d un représentant ou d un organe à la personne pour qui ils agissent. L ouvrage examine cette question dans des situations typiques de la représentation volontaire ou légale, de la personne morale et du groupe de sociétés. Par une analyse critique de la jurisprudence, l étude propose un régime unifié, applicable à toute structure qui implique une division des tâches. Elle développe également les règles applicables à l imputation d une connaissance confidentielle et celles qui s imposent en présence de chinese walls. Cette thèse suggère en outre une voie pour appliquer des normes de connaissance lorsqu un contrat est conclu de manière autonome par un logiciel d intelligence artificielle.